— Les Transversales

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Où il est question de cinéma, du Fidmarseille dont c’est cette année la 27ème édition.
Le festival international de cinéma de Marseille, c’est à partir de mardi prochain 12 juillet et jusqu’au 18 juillet une nouvelle édition cette fois encore, au service du cinéma, de l’art et de la culture –

le Fid un hommage au cinéma du monde
un programme riche de plus de 200 films, originaires de plus de 36 pays,“

Pendant toute la durée du festival le le FID Marseille investit de nombreux lieux dans la ville des lieux emblématiques s’il en est en particulier le Mucem,,Villa Méditerranée le cinéma les Variétés, l’Alcazar, le Théâtre Silvain…

« CORNICHE KENNEDY » c’est le titre du film qui ouvrira le festival cette année le mardi 12 juillet, film en Première mondiale de la réalisatrice Dominique Cabrera,projeté en présence de l’équipe du film
Un film comme un double symbole , un hommage à Marseille, une soirée d’ouverture en entrée libre, au Théâtre Silvain…
« Et quoi, est-il besoin de le préciser, qu’y a-t-il de plus réjouissant, que de projeter, pour son baptême du feu, ce film à quelques mètres de là où il aura été tourné? »
Jean-Pierre Rehm

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Joëlle Zask est philosophe, maître de conférence à l’université d’Aix Marseille, elle y enseigne la philosophie politique
Une rencontre autour de son dernier essai: « La démocratie aux champs, du jardin d’Éden aux jardins partagés, comment l’agriculture cultive les valeurs démocratiques » publié conjointement par les éditions la découverte et les empêcheurs de penser en rond

Elle est l’auteure de nombreux ouvrages, entre autres:
Art et démocratie,aux Presses universitaires de France en 2003
Participer : Essai sur les formes démocratiques de la participation
Outdoor Art, La sculpture et ses lieux, aux éditions La Découverte,‎ 2013.

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Philippe Carrese évoque pour nous son dernier roman publié aux éditions de l’Aube intitulé: la légende Belonore. 3eme volet d’une trilogie après Virtuoso Ostinato et Retour à San Catello.
Un roman qui traverse le temps et l’histoire, nous plonge dans l’Italie des lendemains de guerre
De l’Italie aux Amériques en passant par Marseille.

« 1945. La guerre se termine, l’Italie fasciste est en pleine débâcle. À San Catello, le fief des Belonore, il ne reste que peu d’habitants. Parmi eux, la belle Vittoria et son jeune garçon, la dévouée Addolorata, Lucio, l’ingénieur paraplégique et le patriarche, celui par qui tout a ­commencé, Volturno. C’est une lutte pour leur survie et celle du ­village qu’ils vont devoir mener, une lutte qui les oppo­sera à leur ennemi juré, le condottiere Tancredi ­Crevalcore, bien décidé à venger la mort de son fils…
précisément en Lombardie »

Gilles Rozier est auteur de nombreux romans, récits, nouvelles, traducteur de nombreux ouvrages en yiddish et en hébreu, fondateur des éditions de l’Antilope
Pendant prés de 20 ans, jusqu’en 2014 il dirige la Maison de la culture yiddish à Paris, la même année, il fonde avec Anne Sophie Dreyfus les éditions de l’Antilope
Les éditions de l’Antilope publient leur 1er roman: « Comme deux sœurs » premier roman de l’auteure israélienne Rachel Shalita. Un livre écrit en hébreu, dont il est à la fois le traducteur et l’éditeur
Lors de son passage à Marseille, Gilles Rozier évoque pour nous son parcours et nous présente sa toute jeune maison d’édition

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A propos de l’exposition qui se déroule en ce moment au Frac Paca, de l’artiste plasticien et architecte: Lieven de Boeck: Image Not Found: Pascal Neveux est directeur du Frac Paca
Première exposition personnelle en France de cet artiste, qui vit et travaille à Bruxelles C’est jusqu’au dimanche 5 juin,au FRAC 20 bd de Dunkerque 13002 Marseille
Isabelle Reiher est directrice du Cirva, centre de recherche sur le verre et les arts plastiques et centre d’art contemporain
Les œuvres en verre de Lieven de boeck montrées dans cette exposition Image not found été créées élaborées au Cirva: Sã [100 legos], Mikado LDB Modulor, Le moule en verre bleu, Le moule en verre rose.

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Marie Claire Pontier est archiviste paléographe, issue de l’école des Chartes conservateur en chef du patrimoine et directrice des archives départementales des Bouches du Rhône
Marie Claire Pontier a pris ses fonctions à Marseille en 2014
Elle nous raconte avec beaucoup de simplicité et humour ce que sont les archives départementales, ce qu’elles représentent, quelle est leur histoire, leur importance, en quoi elles représentent un lieu de mémoire, enfin leur utilité pour nous public
Un bâtiment conçu par l’architecte Corinne Vezzoni qui porte le nom d’Archives et Bibliothèque départementales Gaston Defferre un seul bâtiment, qui réunit 2 établissements les archives et la bibliothèque
Les archives départementales Gaston Défferre sont installées au 18-20 rue Mirès à Marseille
ainsi qu’au Centre d’Aix 25, allées de Philadelphie 13100 Aix-en-Provence

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« Après le silence » publié aux éditions Liana Levi a obtenu le prix du premier roman à la dernière rentrée littéraire
« Une roman intense qui brosse la chronique d’une France ouvrière celle des années 60-70, c’est aussi un récit intime autour de l’absence, celle dont on ne se remet pas, l’absence d’un père mort trop tôt d’un accident de travail

Didier Castino enseigne les lettres dans un lycée à Marseille

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Yves Gnaegy est galeriste, la galerie Anna Tschopp est installée au 197 rue Paradis. Yves Gnaegy nous fait part de la nouvelle vie de la galerie
Mare nostrum :
« En ce qui concerne notre champ d’action il est essentiellement défini par notre situation géographique. Etre installé à Marseille signifie bien évidemment être français mais avec une très forte propension à se tourner vers la méditerranée. Toute la méditerranée, de Gibraltar à Tanger ».

Jean-jacques Surian est artiste peintre et plasticien « Sa vision est celle d’un mouvement qui, par son énergie, allonge, tord, noue les figures les unes aux autres, les met « cul par dessus tête », les transforme en être de désir, d’exaltation, signifiant l’avènement des formes qui ne sont jamais dépôts de la pensée mais la pensée en son surgissement. Olivier Kaeppelin

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Où les rythmes flamencos se mêlent au swing jazz…
« Leur goût commun des mélodies qui parlent au coeur et à l’âme, les a guidés vers la création de chansons où la buleria, le swing, la valse jazz et le tanguillo avancent main dans la main vers de nouveaux horizons sonores… »

La première chanson a donné son titre à l’album :
« A la mar fue por naranja cosa que la mar no tiene, meti la mano en el agua, la esperanza me mantiene »
/ » Je suis allé chercher des oranges à la mer, ce que la mer ne peut me donner,
j’ai mis la main dans l’eau car l’espérance me porte.  »

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Déborah Nabet est chanteuse elle vient nous parler de son dernier spectacle solo intitulé « Errance des amours »,
Un spectacle qui alterne des récits, des chants séfarades, yéménites, hébreux, arrangés en direct avec un looper.
Un corps, un souffle, une voix, des percussions (bendir, derbouka, human beat box, palmas…tin tin)
Elle interprète en direct quelques extraits de son spectacle

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Macha Makeieff nous entretient de sa nouvelle création à la Criée, Trissotin
ou les Femmes Savantes

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A propos de l’Entre-deux biennale du cirque
Guy Carrara est auteur, metteur en scène et cofondateur de la compagnie de cirque contemporain Archaos qu’il co dirige avec Raquel Rache de Andrade.
Daniel Gulko, plus connu sous le nom de Gulko,est artiste, clown, metteur en scène, poète et directeur artistique de la compagnie de cirque radical Cahin–‐Caha.

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Corine Scemama Ammar est psychiatre elle exerce son activité à l’hôpital de la Conception où elle dirige l’équipe de « l’Unité ambulatoire surdité et santé mentale méditerranée »
Elle est l’auteure d’un ouvrage publié en 2011 aux éditions l’Harmatan intitule « les Derniers magnifiques, les âmes juives goulettoises d’hier et d’aujourd’hui »

Elle a également écrit en collaboration avec Faustine Viailly, psychologue clinicienne et Benoît Michel,neuro psychologue, l’ouvrage intitulé “Bien vivre auprès d’un proche atteint de la maladie d’Alzheimer, outils et réflexions éthiques à l’usage des familles et des soignants”

Publié aux éditions De Boeck Supérieur dans la collection Comprendre

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A propos de l’exposition « J’aime les panoramas » exposition temporaire au Mucem
Jean-Roch Bouiller est conservateur du patrimoine, responsable de l’art contemporain au Mucem, il est le co commissaire de cette exposition avec Laurence Madeline, elle même conservatrice en chef du pôle beaux-arts du Musée d’art et d’histoire de Genève le musée Rath

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« La musique de Perrine Mansuy est très intérieure, très intimiste. De son jeu au piano émane cette intériorité. Penchée sur les touches qu’elle semble observer de très près, elle a l’air de trier, de chercher on ne sait quoi. Elle se redresse soudain, souriante, radieuse : elle a trouvé dans l’itération d’une boucle, d’un rythme une note qui émerge, claire et splendide. Perrine Mansuy rallie des oppositions, réconcilie des antagonismes : la légèreté naît de l’ostinato, et la concrétion finit en pulvérulence. Un espace s’ouvre, ample et lumineux, qui se déploie jusqu’au sommet de la haute voute végétale ». -McYavell – Chronique du concert à Vitrolles – Charlie fait son Jazz