— Les Transversales

A propos du festival  Caravansérail, 5eme édition cette année

Un festival  initié il y a 5 ans par la  Cité de la Musique de Marseille, en collaboration avec Arts et Musiques, La Maison du Chant, MCE Productions/L’éolienne 

Un festival des musiques du monde en plain air,  deux jours de fête musicale et festive sous la voûte étoilée du   théâtre Silvain,  les vendredi 17 et samedi 18 juin à partir de 19h

“Quelle autre ville que Marseille pourrait mieux donner, en France, l’exemple de la diversité culturelle. La Région n’a pas besoin de s’ouvrir à la diversité ; elle est faite de diversité, depuis toujours,  Il suffit qu’elle se reconnaisse elle-même, qu’elle se mette en scène. La diversité culturelle est ici à Marseille et recouvre toutes les cultures françaises, espagnoles, italiennes, grecques, arabes, berbères, arméniennes, antillaises, réunionnaises, comoriennes, etc. … , mais aussi indiennes, asiatiques, sud-américaines, d’Europe de l’Est ou du Nord… ICI, La diversité n’est pas affaire de nombre »…

Deux soirées durant lesquelles se croisent toutes les  influences,  les sonorités et les héritages culturels et traditionnels 

Odile Lecour est accompagnée par Lilia Ruocco,  au téléphone, chanteuse, comédienne, danseuse, napolitaine. Elle a été élève entre autres de Giovanna Marini à Rome. »

Elle est l’une des 5 voix de la mossa,  quintet polyphonique féminin, voix et percussions.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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Danseurs et Chorégraphes, à propos de leurs créations et de leur spectacle « Folies » qui sera sur la scène du Zef le samedi 11 juin à 19h

 

Une soirée, en deux parties, aux côtés de Claude Brumachon et Benjamin Lamarche : une restitution suivie d’une surprise concoctée par les deux chorégraphes !

« Aux côtés de professionnels de la danse, un groupe d’amateur·ices se sont engagé·e·s dans un travail de recréation de la pièce Folie, oeuvre iconique de Claude Brumachon et Benjamin Lamarche. Après plusieurs sessions de travail et de transmission, ils et elles présentent le résultat final sur le Plateau ! Après la représentation, une invitation spéciale sera faite au public présent… Nous n’en dirons pas plus mais une chose est sûre : ce sera collectif, artistique et vivifiant ! »

« C’est toujours un moment d’émotion pure de transmettre Folie à un groupe de femmes et d’hommes qui s’investissent dans cette danse pulsionnelle. Cette pièce s’enracine dans notre répertoire et résonne encore et encore dans les corps qu’ils soient ceux des amateur.e.s ou des professionnel.les. Folie raconte une rupture profonde, cette rupture que nous traversons sans cesse nous humains. Cette dualité du bien et du mal dans nos corps foudroyés. Folie toujours là comme une œuvre sociale et citoyenne excite la réflexion, interroge les corps à corps, explore la matière de nos gestes, s’enfonce dans notre humanité profonde. Folie une épopée utopique vers des horizons ouverts. »
Claude Brumachon et Benjamin Lamarche.

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Où  l’on peut découvrir encore et jusqu’au dimanche 5 juin, l’exposition consacrée à la fabrication du  » temps des secrets », film de Christophe Barratier  sorti  en salles en mars dernier, inspiré du troisième tome des « Souvenirs d’enfance » de Marcel Pagnol. 

Après la gloire de mon père et le château de ma mère,  un film qui   retrace, le temps d’une année, les vacances du jeune Marcel, son entrée en 6e et ses premières amours.

Oh Marcel, l’exposition nous propose une immersion dans les coulisses  du cinéma, où l’on assiste au  processus de fabrication d’un film, depuis le scénario au  choix des interprètes,  en passant par celui des costumes   et bien plus encore.

L’exposition « Oh Marcel ! “Le temps des secrets“, est une invitation à déambuler à travers le processus de fabrication d’un film. Dans ce parcours,  on découvre l’envers du décor, depuis un plateau de tournage reconstitué, l’ambiance confinée d’une salle de montage,  l’utilisation des filtres et du fond vert pour les effets spéciaux.

Une manière ludique de présenter les différents métiers du cinéma,  l’organisation d’un véritable travail d’équipe,

En découvrant les dessous d’un tournage, on se rend compte,  à quel point le cinéma reste encore aujourd’hui de l’artisanat…

 

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Compositeur, musicien et artiste sonore, fondateur de la compagnie: le Phare à Lucioles

Où il est question du Zef,  Scène Nationale de Marseille,  du Phare à Lucioles, Compagnie dédiée aux écritures contemporaines,  fondée par Loïc Guénin, compositeur,  musicien et artiste sonore.

Le Phare à Lucioles,  compagnie installée depuis 2005 dans le village de Sault,  un lieu  complètement perdu et isolé au pied du mont Ventoux

Où il est question du Cri d’Antigone,  dernière création de Loïc  Guénin, que l’on pourra voir et entendre sur le plateau de la Friche, dans le cadre du festival Propagations,  2ème édition proposée par le GMEM, Centre National  de création musicale,  Marseille  le vendredi13 mai 

Où il est question d’écouter le monde, qu’entendons nous lorsque nous écoutons? Savons nous écouter? et, « si nous sommes très souvent conduits à aiguiser notre regard, il est bien plus rare et difficile de trouver une école pour apprendre à écouter »,  nous dit Loïc Guenin

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 Directeur du  théâtre du Jeu de paume, du Grand théâtre de Provence,  le GTP à Aix en Provence , du théâtre du Gymnase  et  des Bernardines , à Marseille , à propos des Théâtres mais aussi du Festival de Pâques. du 8 au 24 Avril 2022

 

Dominique Bluzet est le directeur exécutif du Festival, Renaud Capuçon, en est le directeur artistique.

Où il est question de son itinéraire et comment  dans les années 90 , il rencontre le Théâtre…

A Marseille   » son destin l’attendait »

Une saison et un festival sous le signe du partage et de l’émotion.

Après une année 2020, empêchée, une année 2021 repensée, 100% numérique et gratuite qui a remporté tous les succès de New- York à Singapour,  2022 l’année d’une renaissance, une programmation forte en symboles pour ce  festival de Pâques  avec en concert d’ouverture  le Requiem de Mozart dirigée par une femme cheffe d’orchestre Barbara Hannigan et  l’orchestre philharmonique de radio France .

Pour la première fois, le Festival de Pâques s’invite au Camp des Milles avec le Quatuor pour la fin du Temps d’Olivier Messiaen  écrit en 1941,

Extraits musicaux:

https://www.youtube.com/watch?v=-vc4fbL6yrw

 https://www.youtube.com/watch?v=OrnT56EKZM4 ensemble instrumental d’amsterdam Thomas Zehetmair au violon  Concerto NO 1 en la mineur i BWV 1041:

L’Avant-concert par Anna Sigalevitch – Ensemble Matheus Ensemble Matheus,  Jean-Christophe Spinosi, direction , Carlo Vistoli contre-ténor, Luigi De Donato, basse

Œuvres de Antonio Vivaldi, Georg Friedrich Händel, Henry Purcell

https://www.youtube.com/watch?v=XvAjokYsUR8 Renaud Capuçon avec l’orchestre philharmonique de Berlin au GTP , Concerto pour violon Elgar

 

 

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Directrice du théâtre Massalia

Où il est question du théâtre Massalia,  une institution à Marseille, scène conventionnée d’intérêt national, Art, Enfance et Jeunesse,   implanté au cœur de la Friche Belle de Mai, où il est question de  la Friche,  fabrique artistique installée dans l’ancienne manufacture de la Seita,  41 Rue Jobin, 3eme arrondissement

Où il est  question de  l’Enfance des arts  et de l’ASSITEJ France, association internationale du théâtre pour l’enfance et la jeunesse ...

Et je cite: “Notre chère Directrice Emilie Robert est élue au Comité Exécutif de L’Assitej – Association professionnelle du spectacle vivant jeune public ! Et comme une bonne nouvelle ne va pas sans l’autre, c’est la France qui accueillera une rencontre artistique, rendez-vous mondial de l’Assitej International en 2025”!

Un théâtre à la friche

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 Où il est question de la compagnie Rassegna, une compagnie au nom emblématique qui rassemble et qui lui ressemble.

Où il est question de musique baroque avec Qui Vive, la dernière création de la Compagnie, un album conçu comme un opéra baroque où l’amour, la folie, la mort sont convoquées.

« La musique baroque prend alors un relief inédit sous des flûtes à bec électrisées, des violes de gambe mises en tension, des basses continues scratchées sur des platines vinyles ou des boucles augmentées à partir de guitares électriques.”

Où il est  il est question du bruit dans la musique, des notions de circularité propre au baroque. 

Et voila ce qui est dit

« Notre Qui-Vive est né ici, à la croisée de ces chemins, se fichant bien des étiquettes. Agile, turbulent, curieux, il est constitué presque exclusivement de pièces nées durant le 17ème siècle et clôture un triptyque entamé avec « Il Sole non si muove », puis suivi par « Contretemps »…

Féru d’anachronismes et de dépaysements, il n’attache d’importance qu’aux idées de circulations et de croisements” 

Extraits de l’album « Qui Vive »

Patrick Boucheron, historien, professeur au College de France, extrait du spectacle donné à la Criée: « Contretemps »

« Qui vive » , troisième volet du triptyque consacré au temps (dont les premiers sont Il Sole non si Muove et Contretemps), 

.La compagnie sera en concert pour sa dernière création  « Qui Vive » Vendredi 27 Mai 2022 – 21h 6MIC – salle Musiques Actuelles du pays d’Aix 160 Rue Pascal Duverger …

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 Laurent Daycard est conteur professionnel, et depuis 1997, directeur artistique  de la Baleine qui dit Vagues

 

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“Suivre l’évolution de la cathédrale de Marseille en 5 étapes, c’est le défi que se sont lancé 8 archéologues et historiens aidés en cela par les  dessins à l’aquarelle de Jean Claude Golvin, sous la direction de Jean Guyon archéologue et historien,  directeur de recherche émérite auCNRS,  spécialiste de l’histoire urbaine et de l’archéologie de l’Antiquité tardive, membre de l’académie de Marseille »

Dans ce livre, Catherine Dureuil  signe la sixième partie :

Mémoire Collective, précédée de cette citation empruntée à Gustave Flaubert:

 “Une âme se  mesure à la dimension de son désir, comme l’on juge d’avance les cathédrales à la hauteur de leurs clochers”  21 mai 1853 , lettre à Louise Colet ….

“Un chapitre  qui donne à découvrir non pas la Major mais Les Majors dans la vie quotidienne des marseillais, 16 siècles de la vie de ces 3 édifices, l’église antique, la Vieille major et la Major, empreinte indélébile, témoignage émouvant de la vie  des marseillais aux différentes époques”.

Un retour vers le passé,  1600 ans  d’une histoire emblématique de Marseille.

La collection Ligne de Mire des éditions Marion Charlet s’intéresse à l’archéologie, l’histoire, le patrimoine la photographie et les arts.

Marion Charlet  est  archéologue médiéviste,  en 2019, elle se lance et crée sa propre maison d’édition.

« Ex-archéologue, j’ai créé ma maison d’éditions en 2019, avec le souhait de publier des livres qui s’adressent à un large public d’amateurs et de non spécialistes. Nos auteurs-spécialistes sont parfois obligés de revoir leurs copies pour être compréhensibles de tous, et la présence d’un glossaire nous permet de ne pas affadir le texte. Bref, nous cherchons le juste équilibre entre lecture agréable et pertinence du contenu »

Les Éditions Marion Charlet

5, rue de l’Amelier

84000 Avignon  06 77 06 63 97

Les choix musicaux de mes invitées:

 « Notre Dame » des Frangines

Muse – Blackout [Live From Wembley Stadium]

Photograph ed Sheeran

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Elle est cheffe pâtissière au sein de la Galerie Anna Tschopp 197 rue Paradis à Marseille, il est galeriste. Où il est question de « Parenthese Enchantée » laboratoire de gourmandises, et d’Anna Tschopp, galerie d’art contemporain

Ici à la galerie Anna Tschopp devant une toile de Gerard Fromanger

Parce qu’il a fallu s’adapter à ces temps, si particuliers, Yves Gnaegy nous propose une visite des œuvres de la galerie sur écran, quelques 600 oeuvres d’artistes, peintres ,sculpteurs, dessinateurs…. mais aussi en réel si on le souhaite.

Collectionneur, ou simplement amateur, Yves Gnaegy se fait un plaisir de vous présenter l’artiste ou l’oeuvre que vous aurez choisie.

Parce que le monde de l’art change, galerie Anna Tschopp change aussi et s’adapte, c’est au 197 rue Paradis 13006 Marseille

Jeudi, vendredi, samedi de 11h à 19h Téléphone : 07 60 69 19 55

Leur choix musical: Oncle Archibald, Brassens, le coeurdonnier, Soprano

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Une rediffusion de l’émission d’octobre 2020

Catherine Dureuil est archéologue historienne de l’art, conseillère culturelle en charge de la valorisation du patrimoine à Marseille, nouvellement élue à l’académie des sciences, des arts et des lettres de Marseille.

Catherine d’Ortoli est architecte du patrimoine et aquarelliste, spécialisée dans le dessin d’architecture à l’aquarelle.

Elles nous présentent cette semaine Marseille Monuments, un magnifique ouvrage, écrit à deux voix, édité aux éditions Parenthèses, dans la collection Art.

Catherine d’Ortoli est architecte du patrimoine et aquarelliste, elle a réalisé pendant plus de trente ans les relevés aquarellés des façades de Marseille sa ville natale. Catherine Dureuil est docteur en archéologie et historienne de l’art, elle en a rédigé les notices historiques issues de ses travaux de recherche.

Cette semaine il est donc question de Marseille, de ses monuments,  de son patrimoine.

Une ville que l’on aime, que l’on déteste parfois, que l’on admire souvent, une ville exigeante qui ne se donne pas au premier au premier venu ni non plus au premier regard, une ville qui se mérite.

et “Marseille est une ville selon mon cœur….

C’est aujourd’hui la seule des capitales antiques qui ne nous écrase pas avec les monuments de son passé. […] Ce n’est pas une ville d’architecture, de religion, de belles-lettres, d’académie ou de beaux-arts.. […] Elle est sale et mal foutue. Mais c’est néanmoins une des villes les plus mystérieuses du monde et des plus difficiles à déchiffrer. » Ici, « tout est resté sous terre, tout est enseveli, l’histoire de Marseille est secrète » 

C’est ainsi que Blaise Cendrars parlait de Marseille dans les années 1920.

Extraits musicaux

Ahmad Jamal/Abd al Malik …. Marseille

Louis Amstrong / Nobody knows ….

Hallelujah Rufus Wainwright

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Une rediffusion du 2 Avril 2019

Une rencontre passionnante avec Dany Lévèque.

Dany Lévèque est choréologue au sein de l’équipe artistique du ballet d’Angelin Preljocaj

Elle nous révèle ici les secrets de son métier, évoque pour nous son parcours, sa rencontre avec le chorégraphe, qu’elle accompagne de ses signes depuis 1992 , elle nous dit tout de la notation Benesh

« La danse comme un langage, une écriture, une grammaire.
Il est question cette semaine de danse, de mouvements, de chorégraphie, de la notation Benech, comme une histoire d’amour, comment de cet art éphémère qu’est la danse en retenir la mémoire »

« Angelin Preljocaj, de la création à la mémoire de la danse », c’est le titre du récit de Dany Lévèque, un ouvrage paru en 2011 aux éditions les belles lettres Archimbaud
« Ce livre donne une visibilité à la profession rare et précieuse de choréologue. L’attitude particulière de son regard sur ma danse en devenir donne à découvrir l’univers, si difficile à partager, des différentes étapes d’une création » Extrait de la préface signé A Preljocaj

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Françoise Dasque est comédienne, et marcheuse, à propos de son spectacle: « 2 bras, 2 jambes, 4 raisons d’aller au bout du monde », un voyage a pied, un périple en direction de la Chine finalement du Japon.

Stéphane Lefranc est comédien , danseur, metteur en scène et marionnettiste

il crée en 1995, la compagnie du Funambule en hommage à la pièce éponyme de Jean Genet.

A écouter dans le 3eme volet…

Où il est question d’un spectacle, d’un voyage à pied au bout du monde, de ce voyage est né un livre, un blog, mais aussi le spectacle « 2 bras 2 jambes », elle sera sur la scène du théâtre Marie-Jeanne les vendredi 21 et samedi 22 janvier 20h30 au 56 rue Berlioz à Marseille.

Un voyage parti d’un petit village de l’Ardèche pour aller on ne sait où, partir sans se retourner, partir quelque part vers l’est, vers l’Asie, là où personne ne l’attend, pas de rdv, pas de contrainte , simplement partir  en toute liberté, pour combien de temps? Elle n’en sait rien, à la rencontre du reste de l’humanité, découvrir le monde….

“Un voyage qui aura duré 20 mois “ 2 bras, 2 jambes” 4 raisons d’aller au bout du monde » un voyage a pied, un périple en direction de la Chine finalement du Japon.

A découvrir absolument!

Extraits:

De Palmas – Sur la route (Clip officiel)

Teaser 2 bras 2 jambes

 Dick Annegarn He He He 1974

Et puisqu’il est question de voyage, Stéphane Lefranc nous amène au pays de la marionnette, l’occasion de découvrir ce ce qu’est un « boeuf marioneattique »

le samedi 29 janvier au t mj une soirée consacrée à la   présentation des élèves en formation de l’acteur marionnettiste…un boeuf marionettique….

les 5 et 6 fevrier ce sera Ho Hisse, spectacle inspiré du voyage autour du monde du Jules Vernes

Stéphane Lefranc est le créateur de ses propres marionnettes, porteuses de poésie et d’imaginaire, Passionné et passionnant

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A propos de la Biac, et de l’Entre 2 Biac, Biennale internationale des arts du Cirque, un mois de cirque à Marseille et dans la région, à partir du mercredi 12 janvier et jusqu’au 13 février 2022

… Et parce que

« La Biennale de Marseille est au cirque ce qu’Avignon est au théâtre« …

voilà ce qu’ils en disent: 

« Nous affirmons que l’art est essentiel, que la vie culturelle est fondamentale. Les hommes des cavernes nous ont laissé les traces picturales de l’indispensable nécessité d’expression de l’humanité ; déjà, ils montaient sur les épaules des uns et des autres pour tenter de décrocher la lune…

Le cirque était né, essentiel pour toujours !

« Un texte signé par Raquel Rache de Andrade et Guy Carrara Co fondateurs de la Biac et Co directeurs  d’Archaos

Raquel Rache de Andrade, est avec moi cette semaine, elles est la co  fondatrice de la Biennale internationale du cirque contemporain à Marseille et et co directrice d’Archaos Pôle National Cirque

Née au Brésil, après  quatre années de formation à l’école Nationale de Cirque du Brésil, en 1988, elle rejoint Marseille et la compagnie Archaos

Raquel Rache de Andrade, nous raconte son parcours, avec une grande simplicité, son amour pour le théâtre, mais aussi pour les mots, aujourd’hui, le cirque… une passion… essentiel !!!

Extraits:

Cirque la Compagnie – Pandax / Entre 2 BIAC 2022 domaine de Fontblanche a Vitrolles les 4, 5,et 6 Février

« Respire, une traversée funambule » Johanne Humblet à la vieille Charité samedi 15 et Dimanche  16 janvier 11 h 

https://www.youtube.com/watch?v=B-3dNk97wQY Les filles du renard pâle — une captation du 4 mai 2021

Entretien avec Johanne Humblet, funambule et directrice artistique de la compagnie Les filles du renard pâle, à l’occasion de sa résidence à l’Atelier 231 en mars 2021 pour la création « Respire, une traversée funambule ». 

« Dans ton coeur » : Cie Akoreacro / Pierre Guillois

https://www.youtube.com/watch?v=OSftcUxFt5U

Johann Le Guillerm

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